Mannequins qui privilégient alcool et drogues à une vie saine
Dans le monde du mannequinat, l’alcool et les drogues sont plus présents qu’on ne le pense. Parfois même, ils sont plus appréciés que la nourriture.
Avoir une hygiène de vie irréprochable, pratiquer du sport , bien dormir et bannir alcool et drogue. Ce sont les critères de beauté à respecter. Pour ce qui est de l’alcool et des substances illicites c’est un autre souci.
Pour rester mince les mannequins sautent des repas et s’abreuvent d’alcool. Ils sont invités à des évènements. Ou l’alcool ne manque pas et où tout est gratuit. La modération d’alcool peut vite tourner en addiction lors de festivités répétitives. Ce trouble alimentaire qui associe l’anorexie et l’alcoolisme est appelé alcoolorexie. Avec la drogue en plus, cela peut conduire à une dégradation du physique, des problèmes de peau. De l’irritabilité, une perte de motivation.
Quand l’abus de l’autorité devient dangereuse
Dans Madame Le Figaro, Nikki DuBose, ancienne mannequin raconte l’oppression de son travail. Son directeur lui faisait du chantage. Si elle couchait avec lui elle avait plus de travail. « Une fois lors d’un déjeuner avec un photographe, j’ai été droguée et violée. Je me suis sentie déshumanisée et ça m’a traumatisée », révèle Nikki.
Aujourd’hui, Nikki Dubose, devenue ambassadrice pour la fondation Shaw Mind qui vient en aide aux personnes atteintes de maladies mentales. Elle travaille sur des projets de loi autour de la santé mentale, des troubles alimentaires et du mannequinat.